A lire absolument. Merci aux sites et blogs Cergypontain de relayer ce compte-rendu dans votre réseau.
Reste à espérer que les Elus de la Communauté d’Agglomération de Cergy-Pontoise en prennent connaissance !
Et au-delà de ça, prennent acte de la volonté publique de sortir de ce mode actuel de gestion de bien public par des sociétés privées !
Merci donc à Cergyrama.com
d’avoir fait suivre ce CR.
CR de la reunion du 30 nov 12 Agleau
Nous en profitons pour vous inviter à prendre part à l’assemblée générale annuelle de l’association Agleau qui se déroulera le mardi 5 février 2013 à 20h30 à la maison de quartier des Touleuses à Cergy.
y a t’il un moyen de revenir en arriere car l’eau a augmente considerablement depuis le changement soit disant pour mettre tout le monde au meme niveau
Aucun elu n’a demander un avis au consommateur qui aurait ete justement judicieu pour tout le monde en exposant le pour et le contre quand il sagit de payer encore plus
Il doit y avoir une raison mais laquelle !
Reponse d’un membre d’AGLEAU : Les décisions du conseil communautaire de la CACP, composé d’élus désignés par les conseils municipaux
des 13 communes de l’agglomération de Cergy-Pontoise, s’appliquent à tous ses habitants.
Revenir en arrière suppose une décision de la CACP de résilier le contrat de 18 ans de délégation du service de l’eau avant 2026. En cette hypothèse, le délégataire CYO demandera une forte indemnisation en contrepartie de cette résiliation anticipée, qui viendrait, sans nul doute, renchérir à l’avenir le prix de l’eau.
De plus, il faudrait que se reconstituent les 9 entités responsables (communes, syndicats de communes) des 9 contrats existant jusqu’en 2008. La CACP devrait alors relancer pour elles une nouvelle procédure débouchant sur une gestion du service de l’eau soit en régie publique, soit en gestion déléguée, si, au vu du rapport obligatoire prévu par la loi, les élus écartent l’option « régie publique ».
Le retour à la « case départ », qui ne garantit pas nécessairement le prix avantageux d’autrefois, n’est juridiquement pas impossible mais il suppose une volonté des élus concernés qui seraient prêts à tenter ce pari du retour au passé.